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07 juin 2024

ARTICLES DE PRESSE - FAITS DIVERS

 



Procès-verbal des séances de l'Assemblée des États de la province de Foix, tenue à Foix.
par ordre   du Roi, au mois de janvier 1786 [-janvier 1788]. 




 Vicaire à Gourbit sous la terreur

Les mésaventures du vicaire Maurette et des Gourbitains qui le défendirent.

Le 12 pluviose an II (31 janvier 1794), une troupe composée du Commissaire du district de Tarascon Baby et de quelques municipaux de Rabat, escortés de gendarmes et de gardes nationaux a pour mission d'arrêter et de mener en prison notre Vicaire Barthélémy Maurette. Bien qu'ayant prêté serment sur la Constitution civile du clergé et fait soumission au serment du 15 août 1792 (dit de «Liberté-Égalité»), exigé de tout français recevant traitement ou pension de l'Etat, cela ne lui assurait qu'une tranquillité relative. En effet de part la loi du 26 août 1792, les Vicaires pouvaient être condamnés à la déportation si par «quelque acte extérieur» ils occasionnaient des troubles venus à la connaissance des corps administratifs ou si «leur éloignement de la paroisse était demandé par six citoyens résidant dans le même département».

En application d'un arrêté du district de Tarascon, Maurette se trouva du nombre des vingt ecclésiastiques dénoncés comme devant être tenus «de sortir hors du royaume dans un délai de quinze jours». Ayant pu faire la preuve qu'il n'avait point rétracté les serments, il ne fut pas, cette fois, autrement inquiété. Sa présence à Gourbit continua d'être tolérée sous la permanente surveillance des autorités locales, mais à la merci constante d'une nouvelle délation.
Ce 12 pluviose an II, la menace est effective. Laissons le Tribunal Criminel de Foix nous décrire ce qu'il se passa.

Jugement du Tribunal Criminel de Foix,
23 floréval an II de la République une et indivisible (12 mai 1794.)


Le directeur du jury déclare qu'il résulte des pièces de la procédure, notamment de la dénonce faite par Arispure, Maire de Rabat et François Prat, notable de la même commune, et du procès verbal du district de Tarascon, que le 12 pluviose dernier (31 janvier 1794), un commissaire du district de Tarascon, certains membres de la municipalité de Rabat, escortés de gendarmes nationaux et de gardes nationaux, se transportèrent au lieu de Gourbit pour arrêter le nommé Maurette, vicaire au chef-lieu, ils furent assaillis par un grand nombre d'habitants de Gourbit à grand coup de pierre et poursuivis jusqu'au village de Rabat ou à peu près, que les pierres qu'on leur jetait atteignirent le concierge de la commune qui reçut un grand coup à la tête ; qu'il résulte encore des pièces de la procédure et du procès verbal de l'administration que Paul Estèbe Nau, baptiste Estèbe Eychène Louge, Jean Builles Lanut, Etienne Buille Sarraire, Jean Galy Maillé recouvreur, Jean Baptiste Builles Teynié, François Estèbe Charlou, Jean Pierre Comte fils d'Etienne, Baptiste Builles, Jean Danné dit Nivet et Jean Ville, tous habitants de la commune de Gourbit, sont prévenus d'être les auteurs de ce délit et d'avoir commis méchamment et à dessin de faire échapper ledit Maurette, sur quoi les jurés auront à se prononcer.
Une ordonnance de prise de corps est lancée par le directeur du jury contre les accusés ci-dessus et ils sont enfermés dans la maison de justice du département.

Après l'interrogatoire de chacun des inculpés, le tribunal, après avoir entendu l'accusateur public et le conseil des accusés, acquitte, sur la déclaration des jurés, Paul Estèbe Nau, Baptiste Estèbe Eychène Louge, Jean Builles Lanut, Etienne Builles Sarraire, Jean Galy Maillé recouvreur, Jean Baptiste Builles Teynié, Jean Danné dit Nivet, ordonne que ces deux derniers, à cause de leur âge, soient remis à leurs parents et remis en liberté.

Néanmoins, considérant qu'il importe de séquestrer dans des maisons de détention des individus qui, par leur action et leur conduite, se sont rendus évidemment suspects ; que dans un moment où toutes les vertus de l'extirpation du fanatisme sont à l'ordre du jour, il serait dangereux de rendre à la société des individus qui, pour entretenir le fanatisme dans leur commune, ont voulu s'opposer et se sont opposés à l'exécution des ordres émanés des autorités constituées.

Considérant quoiqu'il a été déclaré que Jean Builles Lanut, Etienne Buille Sarraire, Jean Galy Maillé recouvreur, Jean Baptiste Builles Teynié n'avaient pas jetté de pierres sur l'escorte dans de mauvaises intentions, ils ne doivent pas moins être considérés comme suspects de cela seul qu'il est établi par les débats qu'ils étaient du nombre des attroupés, qu'ils ont ramassé des pierres, qu'ils en ont lancé, qu'ils ont dit qu'il fallait défendre le vicaire Maurette et qu'ils se sont jacté de cette rébellion à la justice comme d'une action louable.

Considérant qu'il est encore prouvé par les débats que François Estèbe Charlou, Jean Pierre Comte et Jean Ville non déclarés convaincus ont néanmoins pris part à l'attroupement en ramassant des pierres et en engageant les autres citoyens à les suivre au Sarrat d'où l'on lançait les pierres ; Considérant qu'il est de l'intérêt commun que tout le monde connaisse que les mesures rigoureuses sont à l'ordre du jour contre tous ceux qui, par des trames liberticides, voudraient en s'opposant au progrès de la Raison entraver la marche de la Révolution.

Ordonne que Paul Estèbe Nau, Baptiste Estèbe Eychène Louge, Jean Builles Lanut, Etienne Builles Sarraire, Jean Galy Maillé recouvreur, Jean Baptiste Builles Teynié seront retenus en état d'arrestation comme personnes suspectes jusqu'à la paix dans la maison de détention du département ; que François Estèbe Charlou, Jean Pierre Comte et Jean Ville y seront également retenus pendant six mois, en exécution de l'article 10 de la loi du 17 septembre 1793.

Ordonne que le présent jugement sera imprimé en 400 exemplaires et affiché dans toutes les communes du département.
Signatures : Soulié président, Cassaing, Gouazé, Jambert, juges des districts séants à Pamiers, Saint Lizier, Foix, de service au tribunal criminel.

Quel accueil de la part des Gourbitains aux exécuteurs de justice! Se doutaient-ils qu'ils pouvaient arrêter le «progrès de la Raison en marche ? »

Que devint notre vicaire ?

Décidément, les Gourbitains tenaient à leur vicaire ! C'est ainsi qu'il échappa à la troupe venue l'arrêter. Il trouva probablement refuge dans les environs de sa paroisse pour réapparaître à la première accalmie, après le procès de son défenseur. Nous retrouvons sa trace le 12 pluviose an III (31 janvier 1795) l'administration du district lui accordant un traitement de 768 livres pour ses fonctions de ministre du culte entre le 24 décembre 1792 et le 10 pluviose an II (29 janvier 1794), deux jours avant l'épisode de son arrestation manquée. Mais il dut se rendre à la résolution de se retirer à Biert, son pays natal pour se cacher plus aisément. On le trouve le 27 primaire an VI (17 décembre 1797) sur l'état des prêtres autorisés à rester en France ; il résidait alors à Massat. Il eut, pour on ne sait quelle raison, de la peine à se fixer dans une paroisse, il en occupa au moins sept (Crampagna 1807, Mérens 1808, Bédeillac 1810, Aulus (1816-1820), Baliard, Montgauch 1826 et Eheheil) avant de se retirer à Saint-Girons où il mourut le 17 février 1833.
Sur une pièce de 1825 son nom porte en note : «ancien constitutionnel, rétracté de bonne heure ; sa conduite a toujours été bonne». 






En décembre 1795, l’affaire d’Estebé, garde forestier et garde champêtre de Rabat et de Gourbit,
témoigne du rapport du nombre. Faisant sa ronde ordinaire dans les bois de la commune, il
aperçoit un homme sortant des bois de réserve tout en portant un faix de bois de hêtre. Ne le
reconnaissant pas de loin, il le suit jusqu’au village de Gourbit jusqu’à le reconnaître. Il demande à
François Busca de s’arrêter, ce que refuse l’habitant de Gourbit, « disant qu’il avait besoin du dit
bois pour des râteliers ». Sur une nouvelle injonction du garde, Busca finit par lâcher le faix, et
« s’en alla dans la maison chercher les deux autres frères et sa sœur, lesquels étant venus vers lui
emportèrent le faix ». L’affaire aurait pu en rester aux protestations du garde forestier, mais les
quatre membres de la fratrie reviennent et lui tombent dessus, l’attaquant « à grands coups de
briques dont le garde en fut cruellement meurtri en diverses parties de son corps et jusqu’à
effusion de sang »1. Le pauvre garde trouve assez de force pour finalement rentrer chez lui et
dresser le procès-verbal de cette agression.
1 : Archives départementales de l’Ariège, 13L22, Affaire frères Busca.

Procès-verbal au sujet d’une altercation entre un habitant de Gourbit et un
garde forestier suite à une coupe illégale de bois - Audience du 21 frimaire an IV (12
décembre 1795)
L'an quatrième de la République Française une et indivisible et vingt unième jour du mois de frimaire, par devant nous Jean-Pierre Arespure juge de paix du canton de Saurat Section de Rabat
Sont comparus les citoyens François Estebé garde bois et garde champêtre de la commune de Rabat et Gourbit, et les citoyens François et Etienne Busco Petitot fils de Joseph du lieu de Gourbit Estebe disant que le onzième du courant en faisant la Ronde ordinaire pour la garde des Bois de la ditte commune, étant au lieu appelée Fanregos, ayant aperçu un homme qui sortait du Bois de (...) appelée (...) qui portait un faix de bois qui descendait vers le village de Gourbit et n'ayant pu le connaître de loin, il alla au devant de lui vers le (...) village de Gourbit et lorsqu'il fut approché il reconnut que c'était le citoyen François Busco fils de Joseph habitant dudit Gourbit qui portait ledit fais contenant environ vingt arbres de bois de hêtre coupés au pied. (...) chacun (...) auquel ledit Estebé garde bois, aurait dit de s'arrêter et lui disant qu'il a contre venu à la loi en faisant des coupes au bois de (...) mentionné, le dit Busco ne voulant jamais s'arrêter. Disant qu'il avait besoin du dit bois pour des râteliers, ledit garde aurait de nouveau dit à Basco de s'arrêter. Celui ci aurait laissé le dit Faix et s'en alla vers sa maison chercher les deux autres frères et sa sœur, lesquels étant venus vers lui rapportèrent le faix de force et tombèrent tous les quatre sur le dit Estebé garde boisà grand coups de briques dont le garde en fut cruellement meurtri sur diverses parties de son corps et avec effusion de sang, ainsi qu'il est rapporté dans son verbal au juge dont il nous a remis copie sur le bureau (...)
Sur quoi le citoyen François et Etienne Busca ont répondu que tous les dires dudit Estébe garde bois sont plus que faux (...) que le jour mentionné de la plainte le dit François Busca (...) d'un des (...) et que dans ce (…) ledit Busca avait coupé du bois pour en faire un fagot pour l'emporter chez lui et qu'ayant été aperçu par ledit Estebé garde bois l'aurait voulu l'arrêté en chemin de lui disant qu'il sortait du bois de (...), et qu'il fit (…) pour faire (...) et emporter le fagot chez lui, et qu'il est faux que lui (...) et faux (…) maltraité le dit garde et qu'il défie de le leur prouver et demande la relaxe de la plainte contre eux portée. Estèbe garde réplique qu'il offre de prouver tous les faits pour lui (.) dans son (...) portant plainte et demande que Joseph et Marie Busco frères (...) cités pour notre (…).






Multiples délits de coupe de bois avec menace des gardes
forestiers avec une hache, lesquels mettent en joue avec
un fusil. Puis menaces d’un homme avec des propos
révolutionnaires.
Décembre 1796

Coups, blessures et confiscation des outils par 2 gardes
forestiers suite à une coupe de bois d’un paysan, avec
proposition d’achat de silence
Mai 1797


Attroupement armé, dont un garde forestier, d’habitants
de Gourbit sur un bois de Rabat dans le but de faire fuir
une douzaine de charbonniers d’un bois et de détruire leur
matériel. Mai 1798
 Compte-rendu sur un attroupement armé à Rabat pour chasser des
charbonniers - Audience du 5 prairial an VI (25 mai 1798)


Du cinquième prairial, an six de la République française une, et indivisible par devant nous Jean François Bribes juge, délégué par le président du tribunal criminel, dans la salle d'audience, publiquement, et les portes ouvertes, écrivant sous nous Paul Beret commis greffier,
dument assermenté
A été amendé devant nous le nommé Philippe Audoye Galere, détenu dans la maison de justice (…) le présent tribunal, où il a été conduit, et écroué, en exécution d'une ordonnance de prise de corps, contre lui décernée par le directeur du jury de l'arrondissement de Tarascon ; le procès verbal d'écrou, en date du jour, d'hier quatre prairial courant, à l'interrogatoire duquel il a été par nous procédé, comme suit :
interrogé de ses nom, prénom, âge profession, et demeure, a répondu s'appeler Philipe Audoye Galère,
garde forestier de la commune de Rabat, y résident et être âgé de 37 ans. Interrogé s'il n'est vrai que le trente frimaire dernier dans la matinée un attroupement d'habitants de la dite
commune se porta au quartier del rival del ressech faisant partie des bois de la dite commune ou plusieurs charbonniers travaillaient de leur métier ; que cet attroupement tira plusieurs coups de fusils, et des coups de pierre, aux dits charbonniers, et que ceux-ci furent poursuivis pendant longtemps par cet attroupement, qui ne cessa de tirer sur eux, et qu'après les avoir forcés à abandonner leur travail, l'attroupement mit le feu à plusieurs fourneaux qui étaient déjà construits, et aux bois, qui se trouvait préparé pour être aussi converti en charbon, et si lui répondant n'était du nombre des dits attroupés;
A répondu, et nié Interrogé s'il n'est vrai que le feu se communiqua au bois en étant (...) pieds, et qu'il s'en brûla une certain étendue, A répondu ne rien savoir du contenu (...) on l'interrogeât.
Attendu qu'il n'était point du nombre des attroupés, ceux ci s'étant gardés de lui proposer d'en être, sachant qu'il se serait opposé à un attentat aussi répréhensible, le tenant d'ailleurs pour suspect, se trouvant aussi préposé à la garde de la forêt pour les propriétaires d'icelle, qui sont également de la forge, dite de Rabat. Interrogé s'il n'est vrai que le même attroupement duquel il était, enleva du bois, et le porta à la Bouzige, dite del ressech, où il fut chargé sur environ quarante bêtes de somme, qui y avaient été amenées exprès, et qu'il fut volé à Jean Galy Maillé Labreille charbonnier de Gourbit, deux sacs, une bêche et un poignard. A répondu, et nié, Attendu ainsi qu'il l'a déclaré ci-dessus qu'il n'était point du prétendu attroupement, et que par conséquent, il n'a pu participer à l'incendie excès et vol mentionnés aux interrogatoires.
Mieux exhorté à dire la vérité.
A répondu l'avoir dite.



Journal des affiches, annonces et avis divers du département de l'Ariège, 3 mai 1844


Journal de Toulouse : politique et littéraire - 11 mai 1845







                           Bulletin des lois de la République française  01 juillet 1848




                                                        Le Constitutionnel  22 novembre 1849

                                                                        


                           Le Conservateur : Journal de l'Ariège paraissant le jeudi et le dimanche
                                                                         29 août 1872




                                        Le Courrier du Gard : journal politique, administratif et judiciaire

                                                                     23 juillet 1849


                      Le Conservateur : Journal de l'Ariège paraissant le jeudi et le dimanche
                                                                17 avril 1873






          Le Conservateur : Journal de l'Ariège paraissant le jeudi et le dimanche - 08 juin 1873



                        Rapports et délibérations (Ariège, Conseil général) - 01 janvier 1876 







Gazette des tribunaux : journal de jurisprudence et des débats judiciaires - 1850-04-14
                                   Journal de Toulouse : politique et littéraire 06/06/1850







                                       Le Progrès libéral : journal quotidien - 30 juillet 1875



                         Journal de médecine de Bordeaux (1878) 03 août 1878



  L'Ariégeois : journal religieux, littéraire, industriel, agricole, commercial, d'annonces               judiciaires,  affiches et avis divers du département de l'Ariège  - 30 janvier 1879













                              La République de l'Ariège : ["puis" journal politique hebdomadaire]
                                                                        26 février 1885





                                 Le Petit républicain de Toulouse et du Midi  12 février 1886





Journal des villes et des campagnes, 15 août 1858



                                                                    L'Industriel (Mazamet) 1856-1881


                              Journal de Toulouse : politique et littéraire - 15 août 1858



           L'Ariégeois : journal religieux, littéraire, industriel, agricole, commercial, d'annonces                             judiciaires, affiches et avis divers du département de l'Ariège - 20 novembre 1858  




  Le Journal de l'Ariège : Politique, littéraire, commercial, agricole et d'annonces. Bi-hebdomadaire
07 novembre 1880 

 






                                      L'Avenir : Journal de l'Ariège - 07 juillet 1887


                                La République de l'Ariège : ["puis" journal politique hebdomadaire]
                                                                  20 novembre 1890


                                           L'Avenir : Journal de l'Ariège - 17 novembre 1892





La Jeune mère ou L'éducation du premier âge : journal illustré de l'enfance / rédacteur en chef le Dr Brochard,... - 1874-190



  L'Ariégeois : journal religieux, littéraire, industriel, agricole, commercial, d'annonces judiciaires, affiches et avis divers du département de l'Ariège - 18 novembre 1874  







L'Avenir : Journal de l'Ariège - 09 septembre 1900





L'Avenir : Journal de l'Ariège - 17 décembre 1905



La Dépêche, 5 février 1906


Le Temps - 30 avril 1910



  Le Républicain de Toulouse et du Midi : Grand régional quotidien. Organe de la démocratie et
                                    des intérêts économiques du Midi - 22 octobre 1910
  

1/3 Justice et vérité : organe des comités d'union socialiste et radicale [puis journal républicain - 30 avril 1906 Gourbit


2/3 Justice et vérité : organe des comités d'union socialiste et radicale [puis journal républicain - 30 avril 1906 Gourbit


3/3 Justice et vérité : organe des comités d'union socialiste et radicale [puis journal républicain - 30 avril 1906 Gourbit


                                                            L'Avenir : Journal de l'Ariège
                                                                         03 mai 1906        
              

L'Avenir (FOIX) 
11 juin 1914


                                                                Les Annales de l'Ariège (Foix) 1903-1908




                                                             Le Journal de l'Ariège (Foix) 1876-1883



                                                            L'Écho du Tarn (Castres) 11898


                                      L'Avenir : Journal de l'Ariège - 17 novembre 1898



Le Petit Haut-Marnais : républicain quotidien ["puis" Le Spectateur de Langres, Le Réveil de Saint-Dizier]

                                                                       20 mai 1931



                                                 Le petit journal  - 10 novembre 1875



                          La Petite Gironde : journal républicain quotidien  12 novembre 1875



                                                     Journal officiel de la République française

                                                                       07 février 1876
                                                                     Médaille d'honneur
    



                            Revue des eaux et forêts : économie forestière, reboisement. 01 janvier 1879








                                                    Le Progrès du Midi (Nîmes) 09 août 1885



                                               L'Avenir : Journal de l'Ariège - 13 août 1885


                                                       Le Progrès libéral : journal quotidien
                                                                         02 juillet 1886





                                      La Petite Gironde : journal républicain quotidien 3 juillet 1889  






                          La République de l'Ariège : ["puis" journal politique hebdomadaire] 
                                                                      16 octobre 1890



La Dépêche, 24 mars 1891



                            L'Avenir : Journal de l'Ariège ["puis" Journal de la démocratie]
                                                                        11 juin 1891






                                          L'Avenir : Journal de l'Ariège - 14 février 1892





La Dépêche, 7 mars 1892



La Dépêche, 26 juin 1892



       L'Express du Midi : journal quotidien de Toulouse et du Sud-Ouest ["puis" organe quotidien de défense      sociale et religieuse "puis" organe régional de redressement national, de défense religieuse et de progrès social]                                                                                    09 juillet 1892
 

La Dépêche, 15 février 1893


La Dépêche, 13 mars 1893


La Dépêche, 19 janvier 1893


                         Journal d'Indre-et-Loire : affiches, annonces et avis divers 20 janvier 1893




La Dépêche, 14 juin 1893



La Dépêche, 14 juillet 1893



                                    L'Express du Nord et du Pas-de-Calais : ancien journal La Colonne

                                                                      13 janvier 1895


La Dépêche, 15 juin 1895




                         Le Télégramme : journal de la démocratie du Midi - 04 janvier 1896

Loi BERENGER : Pour éviter la prison, considérée comme cause de la récidive, la loi du 26 mars 1891 (Loi Bérenger) crée le sursis à l'exécution de la peine en cas de première condamnation à la prison. Le condamné, s'il commet une nouvelle faute dans les 5 ans, exécutera alors sa peine sans confusion avec la suivante.








La Dépêche, 11 mars 1896






         La République de l'Ariège : ["puis" journal politique hebdomadaire] - 29 novembre 1885

                                              L'Avenir : Journal de l'Ariège - 06 août 1896









Le Petit Marseillais, 8 février 1897


Journal de Montélimar, 13 février 1897


La Dépêche, 7 septembre 1898



                                   Le Réveil du Tarn : journal républicain de Mazamet 21 octobre 1900



  La Tribune ariégeoise : journal littéraire, scientifique, archéologique, agricole, commercial et d'annonces - 08 juin 1901








                            Journal officiel de la République française. Lois et décrets







L'Avenir : Journal de l'Ariège 
10 novembre 1904


L'Avenir : Journal de l'Ariège
01 janvier 1905





                                                                     La Charente (Angoulême) 

                                                                         15 juin 1905



                                              L'Avenir : Journal de l'Ariège 08 avril 1906




La Dépêche, 28 avril 1906



L'Avenir : Journal de l'Ariège
31 octobre 1907




                                            L'Avenir : Journal de l'Ariège - 13 mai 1909



Le Journal, 29 avril 1910


12 décembre 1912

L'Avenir : Journal de l'Ariège - 11 mai 1911



La Dépêche, 4 juin 1913


                  Le Démocrate : journal républicain de l'arrondissement de Pamiers.
                                                              14 décembre 1913





                                           L'Avenir : Journal de l'Ariège 04 novembre 1915








                                           L'Avenir : Journal de l'Ariège 05 août 1920





                                          L'Avenir : Journal de l'Ariège - 23 août 1923





                                                                           1926




                                                                        L'Éleveur (Vincennes)

                                                                     15 mai 1927


                                                                             Le Matin 01 novembre 1928



                                   Le Télégramme des Vosges : journal quotidien d'informations

                                                              02 novembre 1928

La tribune ariégeoise : journal littéraire, scientifique, archéologique, agricole, commercial et d'annonces
3 novembre 1928


                                                                 Le Quotidien  21 janvier 1932



La Petite Gironde, 5 juin 1936
                                                                        BORDEAUX




                                  Le Midi socialiste : quotidien régional - 06 septembre 1936




                                 Journal officiel de la République française, 9 septembre 1938


                                                                         L'Éclairage (Bordeaux)

                                                                    01 octobre 1938



Journal officiel de la République française, 7 décembre 1938






                                                           L'éclair, 25 novembre 1939




                       Journal officiel de la République française. Lois et décrets - 12 avril 1942




Journal officiel de la République française, 26 novembre 1947



                                                       L'Aisne nouvelle - 31 juillet 1948







GAZ DE BORDEAUX

                                              HISTORIQUE  HISTORIQUE Gaz de Bordeaux est une entreprise de fourniture de gaz naturel et de s...